Cela faisait 10 jours déjà que les mages bleus avaient indiqués le passage de la 12ème lune, la dernière de cette année, la mourante, la décadante, celle qui annonçait la fin de l'anné et annoncait la naissance d'une nouvelle...
Une femme digne du respect de l'âge, vêtue d'une cape blanche et d'un torque d'un or éclatant, apparue soudain, fendant ainsi l'épais brouillard qui baignait pesamment la cité du Woainilulu. Elle chevauchait, son coeur emplit d'orgueil et de fierté; elle savait qu'elle était source de vénération car son ventre fut source d'intrônisation.
La femme parveint enfin au palais royale, decendit. On sentit alors la lourdeur et la solennelité du moment. Le cheval alezan qu'elle tenait fermement malgré son grand âge hênissait; de sa gueule s'échappait un nuage blanc qui se confondait avec l'éclatant des uniformes royaux réunit par milliers pour l'occasion. Des centaines de bataillons étaient stationnés ici, ils venaient de part et d'autre du royaume, des confaind des marais j'ausqu'aux bois les plus profond, il étaient ici...
Elle grimpa marche par marche les estrades menant aux portes. D'une force et d'une détermination sans pareil, probablement issue du sang de ses aieux, elle poussa les lourdes portes et déclara:
Mon fils Mafleurnixin fut issut de mon ventre,
Je me permet donc de venir dans cette antre.
Pour vous rappeller qu'il y a 17 lunes,
Les mages bleus ont lut nos runes.
Et de ces invocations je mis au monde votre roy,
Fêtont alors maintenant ce jour de joie!
Ainsi les invités dans un blanc le plus total écoutèrent la mère de Mafleurnixin parler...
et d'un instant pesant émergea un soucis de fête et de passer un moment agréable qui à jamais restera dans les mémoires.
On prposa donc au Sir honoré divers mets, ceci plus ou moins alcoolisés; mais manger ne l'interessait pas... Boire l'intriguait, il pensa qu'un tonnelet après tout ne se résumait qu'à quelques galons de vins... C'est ainsi qu'il but, qu'il but. Mais dégouté par le bon vin qu'il ne distinguait déjà plus de l'eau platte il découvrit le pastis. Blazé de voir tombé le liquide précieux goûtes à goûtes il se rua sur ce saint graal pour le dbouteiller et tout simplement le siffoner jusqu'à... jusqu'à... Mais jusqu'à ou d'ailleurs? Ah si je me souviens! jusqu'à ce qu'il l'est finit et que dans un élan de pitié ou de générosité un seigneurle voyant en train de ramper sous la table le relevant.
Mafleurnixin dit alors:
je... je te... revaudrais ça... un jour... hip... !
Et en gage de bonne foie, son coeur parla et il lui à alors vomi dessus, sur son bel écussons... Ce chevaliers si honoré par cette distinction lui confia en remerciement un paquet de torchons et l'amena devant les latrines ou il passa le restant de la nuit et à ce qu'il fut raconter, une partie du lendemain...
[HRP: Je suis désolé d'avoir posté ici mais je n'ai pas réussis à créer un nouveau sujet dans "sur les terres des compagnons" il est peut-être verrouillé ou je suis peut-être un boulet (c'est pour faire joli le "peut-être ^^). En plus j'avais de l'inspiration pour le Rp ce qui est plutôt rare ^^ ]